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Thomas Dorget devient le nouveau Directeur associé d’Athenora Consulting

Stéphane Desselas, Président-fondateur et Natacha Clarac, Directrice générale associée, sont très heureux d’accueillir Thomas Dorget comme nouveau Directeur associé d’Athenora Consulting : « Thomas est une personne remarquable, de confiance, avec une grande curiosité intellectuelle, une très belle plume et une capacité à s’exprimer simplement sur des questions complexes, il sera un grand atout pour Athenora » a indiqué Stéphane Desselas.
Thomas est diplômé de l’Université Catholique de Louvain en droit européen et de la London School of Economics (LSE) en économie. Avant de rejoindre Athenora Consulting, il a été Délégué général du think tank Confrontations Europe, où il a suivi de près les enjeux européens de politique industrielle et énergétique.
Dans ses nouvelles fonctions, Thomas aura pour mission de promouvoir l’expertise d’Athenora sur les enjeux clés de la transition énergétique et de la mobilité durable, de développer des partenariats stratégiques avec des acteurs industriels et institutionnels et d’accroître la visibilité du cabinet en Europe. En lien avec les nouvelle priorités politiques de l’UE, Thomas contribuera également à la définition des stratégies d’influence pour les clients du cabinet, notamment dans le cadre de l’élaboration du Pacte européen pour une industrie propre.
En tant qu’associé, Thomas sera chargé du rayonnement d’Athenora et de son ancrage comme cabinet Français de référence en lobbying européen, promoteur d’une vision éthique des affaires publiques.
Comme les autres associés, Thomas porte une grande attention à la formation des jeunes générations, en sa qualité de nouveau maître de conférences à l’Institut catholique de Paris (ICP).
Thomas sera également amené à prendre des responsabilités au sein du Groupe des Nouveaux Lobbyistes (GNL) créé en 2005 par Stéphane Desselas, son président actuel

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Interview du Président d’Athenora Consulting | publiée dans le Figaro

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Interview du Président d’Athenora Consulting | publiée dans le Figaro

Stéphane Desselas, président-fondateur d’Athenora Consulting, défend une vision du lobbying fondée sur l’éthique et la transparence. Depuis la création de son cabinet en 2003, il a adopté une démarche rigoureuse et transparente et prouve que le lobbying peut (et doit) être vertueux. Stéphane Desselas, vous êtes le fondateur du cabinet Athenora Consulting. Pouvez-vous nous décrire votre parcours de lobbyiste ? Stéphane Desselas : Oui, je suis avocat de formation et diplômé de l’ESCP (93), j’ai eu l’opportunité d’effectuer un stage à Bruxelles en 1992, une expérience déterminante qui m’a ancré dans les affaires européennes. Depuis, j’ai évolué dans cet univers, travaillant aussi bien pour de grandes entreprises comme EDF et La Poste que pour des fédérations européennes. C’est en 2000, au sein d’un cabinet de lobbying britannique, que j’ai découvert le métier du conseil en affaires publiques, avant de franchir le pas et de fonder mon propre cabinet en 2003. Votre domaine d’expertise s’ancre dans les affaires européennes. Le cœur du pouvoir européen est secoué par un nouveau scandale de corruption impliquant Huawei. Une affaire qui rappelle le scandale Qatargate de 2022, qui avait conduit à l’arrestation de plusieurs parlementaires. Faut-il s’inquiéter des méthodes de lobbying pratiquées ? Stéphane Desselas : La corruption est hélas liée à la nature humaine. Toutefois, il y a des moyens de mettre en place des garde-fous : on peut pratiquer un lobbying éthique et c’est ce que nous nous attachons à faire chez Athenora Consulting. Il est temps en effet de promouvoir une sélection des causes qui peuvent faire l’objet ou non d’un lobbying, dans un esprit d’éthique renforcé. Je ne trouverai pas choquant que les cabinets européens ne défendent plus demain que des intérêts d’acteurs purement européens. Il n’est plus temps de faire preuve de naïveté. L’idée d’un “nationalisme” européen (fort de ses valeurs et principes propres) face aux autres blocs me semble avoir de plus en plus de sens. Nous sommes les héritiers d’Athènes, des deux Rome et des Lumières, soyons fier de promouvoir nos valeurs dans cette guerre idéologique de l’influence ! Quelle est la mission d’Athenora Consulting et quelles sont les causes que vous défendez ? Stéphane Desselas : Athenora Consulting est un cabinet de conseil en affaires publiques européennes. Nous allions une méthode éprouvée de lobbying développée sur la base des meilleures stratégies d’influence, un esprit de partenariat avec l’écosystème européen et un professionnalisme reconnu dans les outils et techniques de lobbying. Athenora s’engage à défendre des causes durables, dans un esprit d’intérêt général, en partageant sa connaissance fine des rouages européens et des réseaux institutionnels. « L’éthique nous engage personnellement » Quels sont vos principaux domaines d’expertise ? Stéphane Desselas : Nous avons acquis une reconnaissance dans les secteurs des grands services publics, tels que l’énergie, les transports, la poste et les télécommunications. Nous accompagnons aussi des organisations de l’économie sociale, comme des mutuelles et des coopératives, pour défendre leurs intérêts au niveau européen. Nous nous intéressons activement au secteur digital et aux technologies du futur, en créant des espaces de réflexion sur ces sujets. Athenora Consulting crée des cercles de réflexion pour discuter des politiques sociales, des technologies du futur, des enjeux de concessions et de marchés publics, enrichissant ainsi son approche globale. Depuis plus de 20 ans, notre credo, c’est « Éveiller à l’Europe pour agir ! ». Et nous allons poursuivre notre mission… L’image du lobbying reste ambivalente. Pourtant, c’est avant tout un formidable levier du dialogue démocratique si l’accès au lobbying est généralisé (Athenora défend d’ailleurs la notion de lobbyiste commis d’office pour favoriser cet accès à tous au lobbying). Le terme « lobbying » a une connotation négative. Selon vous, le lobbying éthique est une contradiction apparente ou un véritable engagement en faveur de la transparence et de l’intérêt général ? Stéphane Desselas : L’éthique est un pilier de l’ADN du cabinet dès le départ. L’éthique relève avant tout d’une conviction individuelle. La loi s’impose à tous, tandis que l’éthique nous engage personnellement. Nous, nous nous sommes toujours distingués par notre engagement en faveur de la transparence et de la pédagogie. Nous avons été le premier cabinet inscrit au registre de transparence de la Commission européenne. C’est un enjeu fondamental pour garantir la légitimité et l’intégrité des processus décisionnels. Comment développer une approche éthique du lobbying ? Stéphane Desselas : Le registre de transparence mis en place par la Commission européenne permet de recenser les acteurs influençant les politiques publiques. Cet outil offre une vision claire des interactions entre les secteurs public et privé pour prévenir d’éventuels conflits d’intérêts et préserver la confiance des citoyens envers les institutions. Aujourd’hui, les entreprises et organisations engagées dans des activités de lobbying ont l’obligation de déclarer leurs activités, les montants investis ainsi que les responsables impliqués dans ces démarches. Bien que ces informations soient accessibles au public, elles restent méconnues du grand nombre. L’application rigoureuse des principes de transparence permet non seulement de renforcer la démocratie, mais aussi d’améliorer la qualité des décisions prises en impliquant davantage les citoyens et les parties concernées dans le processus législatif.  L’éthique, une priorité en lobbying Athenora Au-delà de ces exigences de transparence, Athenora Consulting adopte une approche encore plus rigoureuse en sélectionnant avec soin les dossiers qu’elle accepte, allant jusqu’à en refuser certains ? Stéphane Desselas : Oui, nous avons une approche éthique unique : nous refusons de collaborer avec des secteurs tels que le tabac, l’alcool, les aliments trop gras ou trop sucrés, les armes (en dehors de celles nécessaires à faire face à une menace extérieure) ou les États non démocratiques et leurs entités. De plus, chaque consultant peut faire valoir une clause de conscience individuelle pour refuser de travailler pour un client. Pour choisir les Etats et leurs entités avec qui nous souhaitons collaborer, je m’appuie sur le classement établi par le rapport annuel d’une fondation, la Freedom House. Nous avons aussi décidé de ne pas travailler pour des personnalités, assez puissantes, pour être en capacité seule d’influencer les institutions. On trouve en effet aujourd’hui des personnalités qui ont une telle puissance financière, idéologique et médiatique qu’elles peuvent, à elles seules, constituer un véritable lobby et exercer une réelle influence sur les décisions publiques. Si l’un de ces acteurs, qu’il soit français ou étranger, sollicitait une collaboration avec nous, sous prétexte de son poids financier ou dans les médias et de son pouvoir d’influence, notre réponse serait sans appel : non. A notre échelle, nous posons une barrière, modeste certes, mais nécessaire. Cela ne les empêchera pas d’agir, mais ce sera sans notre aide. D’où vous vient cette vision pionnière de votre travail de lobbyiste ? Stéphane Desselas : J’ai toujours eu à cœur de me montrer transparent et éthique, et de servir des « causes justes et durables », et ce, dès mes débuts, en 1994, lorsque j’ai commencé à travailler pour de grandes entreprises publiques françaises, EDF, La Poste et les chemins de fer européens. Mon premier livre, en 2007, s’intitulait « Un lobbying professionnel à visage découvert : Enquête sur l’influence des Français à Bruxelles ». C’est un sujet qui me tient à cœur depuis longtemps. Je crois aussi que j’ai été influencé par les anglo-saxons, qui ont la réputation de pratiquer un lobbying professionnel. J’ai voulu m’inspirer de leurs méthodes et techniques de lobbying mais en les conciliant avec nos principes continentaux d’intérêt général. C’est aussi pour cela que j’ai créé, en 2005, le Groupe des Nouveaux Lobbyistes, après le rejet de la constitution européenne par référendum en France, avec pour ambition de moderniser et professionnaliser l’activité du lobbying des Français à Bruxelles. Ce groupe prône une approche basée sur l’expertise, et rompt avec un lobbying traditionnel et ancien fondé sur les réseaux personnels et les petites faveurs, car l’éthique n’est pas une contrainte, c’est une nécessité !

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Budget européen : l’heure est à un sursaut confédéral

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Budget européen : l’heure est à un sursaut confédéral

Opinion Budget européen : l’heure est à un sursaut confédéral Sans une refonte ambitieuse de son budget, fixé actuellement à 1% du PIB, l'UE restera un acteur politique sous-dimensionné face aux défis qui s'annoncent. L'Union européenne (UE) entame une bataille cruciale pour son budget 2027-2034. Face à des défis immenses – sécurité, transition écologique, souveraineté technologique –, son financement actuel, limité à 1% du PIB, apparaît insuffisant. États membres et Commission européenne doivent trouver le courage politique d’assumer un budget confédéral à la mesure des ambitions de l’Union. Alors que les négociations du budget de l’UE pour la période 2027-2034 ne débuteront qu’en juin, les cercles européens sonnent déjà la mobilisation générale, entre projections chiffrées, rapports d’influence et esquisses de compromis. S’ouvre ainsi une période déterminante pour l'Union, à l’issue de laquelle seront fixés les moyens financiers de nos ambitions communes pour sept ans: sécurité et défense, décarbonation, réindustrialisation, développement de l’intelligence artificielle… Pourtant, le cadre budgétaire actuel ne permet pas de répondre à ces défis, et la tendance à la contraction du budget communautaire menace directement la capacité de l’Union à agir. Un budget faible et sous pressionLe budget européen est structurellement modeste: il dépasse à peine les 1.000 milliards d'euros sur sept ans, soit 1,02% du PIB des Vingt-Sept, une part qui a continuellement diminué depuis 1990, période à laquelle il représentait 1,2% du PIB de l’UE. Un choix historique pour les États membresOr, comparé aux autres grandes entités fédérales, le budget européen fait figure d'exception minimaliste: le budget américain représente 36% du PIB national, le budget canadien, 15%. Quant aux Européens, les appels brûlants au sursaut visent un timide 3%.Cette contraction budgétaire intervient alors que les attentes envers l'UE ne cessent de croître. La transition écologique, la compétitivité industrielle et la sécurité européenne exigent des moyens considérables, que la Commission estime à environ 500 milliards d’euros supplémentaires par an d'ici à 2030.Par ailleurs, la situation est appelée à encore se dégrader. À partir de 2028, l'UE devra commencer à rembourser les 750 milliards d'euros empruntés sur les marchés pour financer son plan de relance post-covid. Ces remboursements pèseront pour 20 à 25 milliards d'euros par an pendant huit ans, ramenant le budget européen disponible à seulement 0,8% du PIB. L'Europe se trouve à un tournant politique. Face à la dérive trumpiste des États-Unis, à la menace persistante de la Russie de Vladimir Poutine et aux enjeux internes de sa propre souveraineté économique et technologique, l'heure n'est plus aux calculs à courte vue, mais au déploiement d’un budget ambitieux. Ce sont les États membres, nos chefs d’État et de gouvernement, qui doivent prendre cette décision courageuse et éminemment politique. Deux solutions principales se présentent à eux: augmenter leurs contributions au budget européen, choix difficile à assumer devant des opinions publiques de moins en moins euro-enthousiaste. Ou alors, créer de nouvelles sources de revenus directs pour l’UE, à travers la perception de taxes par la Commission elle-même. De nombreuses initiatives existent dans ce registre, toutes bloquées dans la nasse du processus décisionnel européen, pour certaines depuis des années (taxe sur les transactions financières, sur les plastiques non recyclables, sur les infrastructures télécoms...). Sans une refonte ambitieuse de son budget, l'UE restera un acteur politique sous-dimensionné face aux défis du siècle. À 1% du PIB, l’Europe se condamne à l’impuissance. À 3%, elle fait un pas vers la réalisation de ses ambitions. Le trimestre qui s'ouvre est celui du courage politique: les dirigeants européens ont le choix entre prolonger l'illusion d'une Europe à moitié souveraine ou assumer pleinement l'intégration budgétaire nécessaire pour garantir la puissance et la stabilité du continent. Thomas DorgetConsultant PolitiqueDirecteur associé d’Athenora Consulting

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Tribune de Thomas Dorget, publiée dans L’Echo

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Tribune de Thomas Dorget, publiée dans L’Echo

Au-delà de la simplification des normes européennes pour les entreprises, le mandat 🇪🇺 qui s’ouvre doit surtout permettre de :  ➡️ Sécuriser son accès à une énergie abondante, bas carbone et abordable ; ➡️ Intégrer ses marchés de capitaux pour flécher les 33 000 milliards d'euros d’épargne disponible vers les priorités politiques de l’UE (décarbonation, numérisation…). Ces deux éléments constituent la clef d’une véritable politique européenne de compétitivité. Lire la tribune : https://www.lecho.be/opinions/general/opinion-l-europe-n-a-pas-besoin-de-simplification-mais-d-investissement/10586804.html 

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Athenora Consulting éclaire les organisations sur les affaires européennes - Articles Forbes

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Athenora Consulting éclaire les organisations sur les affaires européennes - Articles Forbes

Athenora Consulting éclaire les organisations sur les affaires européennes20 janvier 2025 Depuis plus de 20 ans, Athenora Consulting accompagne entreprises et organisations dans la défense de leurs intérêts auprès des instances européennes, avec éthique et expertise. Une vision pionnière et engagée des affaires publiques Stéphane Desselas (avocat de formation, diplômé de l’ESCP) est un amoureux de l’Europe, expert en affaires européennes, ayant œuvré depuis 1994 pour de grandes entreprises publiques françaises. En 2003, il crée le cabinet Athenora Consulting comme une nouvelle façon de pratiquer le lobbying à l’échelle européenne. « J’avais l’ambition de défendre des causes autour de l’intérêt général avec des méthodes inspirées des techniques anglo-saxonnes », explique-t-il, une vision très novatrice à l’époque où les cabinets d’affaires publiques français misaient tout sur le carnet d’adresses.Avec son nom mythologique rendant hommage à la sagesse de la déesse Athéna, le cabinet s’est imposé comme un acteur de premier plan à Bruxelles en mettant l’accent sur la transparence et la pédagogie. En effet, Athenora fut le premier cabinet à s’inscrire au registre de transparence de la Commission européenne. Représentant une nouvelle génération de lobbyistes, Stéphane Desselas s’est entouré de deux associés de grande qualité, Natacha Clarac, associée depuis 2008 et, plus récemment, Thomas Dorget. Tous deux partagent cette vision moderne et engagée des affaires publiques. Athenora Consulting a largement contribué à professionnaliser le lobbying européen français, grâce à des formations dans les grandes écoles et universités et la publication de deux ouvrages de référence sur le sujet. Son approche éthique reste unique : l’agence refuse de collaborer avec des secteurs tels que le tabac, les armes ou les Etats non démocratiques. Chaque consultant peut également faire valoir une clause de conscience individuelle. Cette démarche, rare dans ce milieu, reflète une volonté de promouvoir l’intérêt général au sein de l’Union européenne. Des stratégies d’influence basées sur l’expertise Athenora Consulting propose un accompagnement global des entreprises, associations professionnelles et collectivités locales, dans la défense de leurs causes auprès des institutions européennes. Pour atteindre ces objectifs, trois volets sont mis en œuvre : l’information, le positionnement et l’action. « Beaucoup de nos clients ne sont pas basés à Bruxelles », explique Stéphane Desselas, « et veulent être informés de ce qui se passe au niveau européen. Nous les alertons sur les impacts que peuvent avoir les développements européens sur leurs activités. » Une veille précieuse pour établir un plan d’action. L’équipe à taille humaine travaille avec des clients français diversifiés, issus notamment des secteurs des services publics, de l’énergie, de l’économie sociale et du numérique. La méthodologie du cabinet s’appuie sur l’expertise des sujets, la stratégie argumentée et les actions concrètes. Des clients d’envergure comptent sur l’expérience et l’expertise d’Athenora Consulting pour bâtir leur stratégie d’influence en identifiant les bons messages à faire passer aux bonnes personnes, au bon moment, au sein des institutions européennes. Conseils, pilotage d’études, rédaction d’amendements, mise en relation avec les décideurs, organisation de conférences… Les outils du lobbyiste sont nombreux pour peser dans les débats. Une des fiertés de Stéphane Desselas est liée par exemple à l’introduction de la notion de services sociaux d’intérêt général (SSIG) dans la doctrine européenne, grâce à une coalition d’acteurs sociaux créée par Athenora Consulting, en appui aux positions de la MGEN (partenaire du cabinet depuis plus de vingt ans). Répondre aux enjeux actuels, anticiper ceux de demain À l’heure où l’Union européenne entame un nouveau cycle institutionnel, Athenora Consulting reste en alerte face aux mutations politiques et économiques. La montée de l’extrême droite au Parlement européen, le recul des politiques écologiques ou encore les tensions géopolitiques sont autant de défis qui complexifient l’équation politique pour ses clients. Dans ce contexte, l’agence renforce son rôle de vigie et de conseil. Avec son académie de formation (Athenora Academy), Athenora sensibilise les entreprises aux enjeux européens et accompagne les jeunes générations de lobbyistes. À travers plusieurs cercles de réflexion, le cabinet offre également des espaces d’échanges sur des thèmes cruciaux comme les politiques sociales, la technologie ou encore les enjeux réglementaires et politiques impactant les réseaux de services publics. Des moments privilégiés entre décideurs et parties prenantes pour dialoguer, comprendre les enjeux européens et les besoins de chacun. En 2025, Athenora lancera une réflexion sur le modèle des concessions de service public au plan européen.Enfin, Stéphane Desselas s’engage toujours autant envers la professionnalisation et la transparence du secteur des affaires publiques. En 2005 (après le non au référendum européen), il crée le Groupe des Nouveaux Lobbyistes, qui réunit plusieurs générations venues de tous horizons (entreprises, collectivités locales, médias, associations professionnelles, organismes de recherche, consultants, think-tanks, académiques) afin de partager leurs bonnes pratiques et faire évoluer la profession. Stéphane Desselas est également porteur du projet de la création d’un corps de lobbyistes publics commis d’office qui permettrait pour toutes les causes, un accès économique et plus ouvert au lobbying. Faire du lobbying éthique, qu’est-ce que c’est ? S’engager pour l’intérêt général, garder son indépendance et sa probité, mais aussi œuvrer en toute transparence pour contribuer de manière constructive au projet européen. Tel est l’engagement de Stéphane Desselas et de son cabinet depuis 2003.

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